Le bon côté de la lèpre – Rav Breisacher
Cours Video - Paracha Metsora, par le Rav Haim Rozenberg Zal
Ces dernières générations, beaucoup éprouvent le besoin d’établir un pont entre les progrès du savoir et les préceptes de la Torah. Pour eux, donner aux mitsvot une signification concordant avec les normes de la société moderne, attribuer aux commandements de la Torah une connotation « éthique » ou « sanitaire » relèvent d’un nécessité essentielle leur permettant de rester fidèle à ses lois.
La haftara attachée à la parachath Metsora' (II Rois 7, 3 et suivants) raconte un épisode survenu à l'époque du prophète Elisée, tandis que le Royaume du Nord était engagé dans une guerre contre la Syrie, dont les troupes assiégeaient Samarie.
Hachem parla à Moché au mont Sinaï en disant. (25, 1)Rav Chelomo Bloch, qui fut un proche disciple du ‘Hafets ‘Hayim, a rapporté l’explication suivante au nom de son Maître.
"Vous serez saints!" (19, 2) Pour le Ramban, nous ne pouvons respecter dûment cette injonction en nous préservant simplement des relations illicites énumérées dans la section précédente, contrairement à ce que semble indiquer Rachi. Il faut, pour se «sanctifier» véritablement, s’imposer consciemment et volontairement des limites, et adopter un style de vie décrit par les Sages du Talmud comme la perichouth, littéralement: «séparation».
La parachath Emor commence par le verset : « Hachem dit à Moïse : Parle aux kohanim , fils d'Aaron, et tu leur diras : Pour une âme [c'est-à-dire pour un mort], il ne se rendra pas impur dans ses peuples » ( Wayiqra 21, 1). Pourquoi cet ordre de Hachem s'adresse-t-il aux « kohanim , fils d'Aaron », et non à Aaron lui-même ?
La première partie de cette paracha traite successivement (Wayiqra 6, 2 ; 6, 7 et 6, 18) de « la loi de l’holocauste » (תורת העלה), de « la loi de l’oblation » (תורת המנחה) et de « la loi de l’expiatoire » (תורת החטאת).
Cours de Paracha donné en 5767 - Par Rav Rozenberg Zal
Au fil des lois sur les sacrifices, la Torah souligne à plusieurs reprises le devoir de chacun de ne pas priver autrui de ses biens, de quelque manière que ce soit. Plus loin dans notre paracha, nous pouvons également lire : « Il ôtera le jabot avec les plumes », (1, 16), verset que Rachi commente en ces termes :