Le Omer : La construction de soi, par le Rav Dov Roth-Lumbroso
Pour mieux comprendre la période du Omer: La construction de soi, par le Rav Dov Roth-Lumbroso.
Pour mieux comprendre la période du Omer: La construction de soi, par le Rav Dov Roth-Lumbroso.
Le deuxième soir de Pessa‘h, nous commençons de compter « le ‘omèr », jusqu’à la fête de Chavou‘oth, conformément à l’injonction divine (Wayiqra 23, 15) : « Vous compterez pour vous – du lendemain de la fête, du jour où vous aurez apporté le ‘omèr du balancement – sept semaines ; elles seront complètes. »
Le deuxième jour de Pessa‘h – 16 nissan – nous entamons le décompte des quarante-neuf jours du ‘omèr, aboutissant à Chavou‘oth. Cette supputation nous a été enjointe par Hachem (Wayiqra 23, 15) : « Vous compterez pour vous – du lendemain de la fête, du jour où vous aurez apporté le ‘omèr du balancement – sept semaines ; elles seront complètes. »
Pour cette recette de knish nous avons transformé ce classique d'Europe de l'Est en une friandise casher pour Pessah et facile à préparer chez vous. Il est temps de tout faire avec des pommes de terre - c'est Pessah !
REPLAY DEUX CONCERTS Motti Steinmetz et Yaacov Shwekey en l'honneur de Pessah
De nos jours, nous sommes assis sur des chaises et mangeons à table, dans ce cas, comment doit on s'accouder ? afin que la consommation des 4 verres , ou des kazait de matsa soient agréable? en s'accoudant sur la table c'est trés desagréable, et ne correspond peut être pas à l'aspect "Herout" (liberté, et agréabilité) recherché...
Le soir du Sédèr , après avoir consommé la matsa et le maror , on procède à une nouvelle consommation de ceux-ci, sous la forme, cette fois, de ce que l'on appelle parfois le «sandwich de Hillel»
Rabbane Gamliel a enseigné : « Quiconque n'a pas prononcé ces trois mots à Pessa'h n'est pas quitte de son obligation : Pessa'h, Matsa et Maror. »
Cours vidéo du rav Dov Roth-Lumbroso sur Pessah: " H'amets et Matsa - L'antithèse ?"
Le Chabbath ha-gadol , qui précède la fête de Pessa?h , est associé à une haftara qui a été empruntée au troisième chapitre de Malachie (4 à 24), le dernier des prophètes scripturaires. D'où vient ce nom de Chabbath ha-gadol ?