La majorité a-t-elle raison ?
Il est écrit que l’on doit décider selon la majorité (Chemoth 23, 2). Ne devrions-nous pas, à ce compte-là, nous qui sommes une infime minorité, nous plier à la majorité, celle des peuples du monde ?
Il est écrit que l’on doit décider selon la majorité (Chemoth 23, 2). Ne devrions-nous pas, à ce compte-là, nous qui sommes une infime minorité, nous plier à la majorité, celle des peuples du monde ?
Parmi les nombreuses lois énumérées dans la parachath Michpatim , il en est une qui paraît singulière, ou du moins anormalement rédigée : « Une sorcière, tu ne la laisseras pas vivre » ( Chemoth 22, 17). Pourquoi « une sorcière », et non « un sorcier » ?
Voici une histoire que illustre comment tout ce que l’on gagne par le mensonge ne porte pas chance, car on finit très rapidement par le perdre…
Les premiers versets de la parachath Michpatim instituent un système d’« esclavage » totalement révolutionnaire par rapport aux autres législations en honneur dans l’Antiquité, système qui le fait ressembler davantage à un « contrat de travail à durée déterminée » qu’à une véritable servitude.
Il est écrit dans notre paracha que « lorsqu’un homme vole un bœuf ou un mouton, il devra payer cinq pièces de gros bétail à la place du bœuf et quatre moutons à la place du mouton » (Chemoth 21, 37). Explication de Rachi : Le voleur n’a pas eu à se baisser pour le bœuf, tandis qu’il a dû se baisser pour le mouton. Et comme il s’est humilié en se baissant, sa peine est moins lourde. N’est-il pas étrange que la Tora prenne tellement soin de préserver la dignité du voleur ?
Pourquoi les lois sur le statut du serviteur juif font-elles immédiatement suite au chapitre relatif au don de la Tora ?
Cours Audio du Rav Dov Roth-Lumbroso
L'engagement du don de la Torah - Cours vidéo du Rav Yechaya Arrouas
La paracha de Ytro nous relate qu'au moment où Hachem a parlé aux Bnei Israël, ces derniers ont vu les voix. Quel est l'enseignement de cette vision extraordinaire ? Comment peut-on voir des voix ?
La Séoudat Yitro est une coutume juive tunisienne : chaque année, le jeudi soir précédant le Shabbat Yitro, les Juifs originaires de Tunisie ont pris l’habitude d’organiser un repas familial appelé également « la fête des garçons » au cours duquel sont servis notamment des petits pigeons.