Pourquoi deux lectures de la Meguilat Esther ?
Pour quelle raison la Meguilath Esther est-elle récitée deux fois, d'abord le soir de Pourim puis le lendemain matin, alors que l'on ne dit qu'une seule fois par an les quatre autres Meguiloth ?
Pour quelle raison la Meguilath Esther est-elle récitée deux fois, d'abord le soir de Pourim puis le lendemain matin, alors que l'on ne dit qu'une seule fois par an les quatre autres Meguiloth ?
Pour tout savoir sur Pourim, avec une belle dose d'humour. Les questions que l'on s'est toujours posé sur Pourim, des plus simples aux plus incongrues, répondues avec la finesse de Jacques Kohn Zal.
Une étude réalisée par l’université d’Ariel quelques jours avant Pourim montre que l’envoi de michloah manoth, de denrée alimentaires à autrui, se fait dans des proportions bien supérieures à ce que demande la mitsva proprement dite.
Le mois d'Adar , commémore non seulement la fête de Pourim où Haman a souhaité détruire le peuple juif mais également la naissance et la mort de Moché Rabbenou Alors, mois d'épreuves ou mois de joies ?
Texte tiré de l'ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz Adaptation en français par le Professeur F.H. Lumbroso. Éditions Olam Hassefer.
La Paracha Vayikra (1, 1) s’ouvre sur ces mots : « Il appela Moché et D.ieu lui parla de la tente d’assignation pour lui dire ». Commentant ce verset, le Midrach (Torat Cohanim, 1, 4) enseigne : « ‘De la tente d’assignation’ : cela nous apprend que le son de la voix s’arrêtait et ne sortait pas en dehors de la tente. Est-ce parce que le son de la voix était faible ? Non, car le verset précise : ‘La voix’, (Bamidbar, 7). Or, de quelle voix s’agit-il ?
La Paracha Vaykra en pdf avec Texte hébreu/araméen de Rachi et Onkelos et la traduction en français ! Edition Edmond J Safra.
Le Cohen Gadol porte au-dessus de son front le Tsits –une petite plaque en or– sur lequel sont gravés les mots Kodesh laShem – sanctifié pour Hashem – afin de raviver en chaque juif cette conviction : ‘Je suis entièrement voué à Hashem, et Sa volonté est l’essence et l’intention primaire de toutes mes pensées !’ Quoi de plus évident que ce Tsits expie alors le vilain défaut de l’effronterie utilisé dans un mauvais contexte !
La paracha nous apprend, à propos de la plaque ( tsits ) dont était revêtue la tiare du kohen gadol : « Ils firent la plaque, diadème de la sainteté d'or pur, et ils écrivirent sur elle une écriture en gravures de cachet : ?Sainteté pour Hachem ? » ( Chemoth 39, 40). Pourquoi est-il écrit : « ils écrivirent », au pluriel, alors qu'il aurait été plus logique d'employer le singulier : « il écrivit » ?
A partir du 1er Nissan, symbole du printemps et du renouveau de la nature, on doit dire une bénédiction sur des arbres fruitiers en fleurs pour remercier D. de la beauté de la floraison. Cette Mitsvah est profondément ressentie en Israël où l’attachement à la terre est sensible et très fort.