CHEMINI : PARACHA ET HAFTARA
La paracha commence par les mots : « Ce fut le huitième jour… », huitième journée de l’inauguration du Tabernacle qui aurait dû être le couronnement faste et glorieux des cérémonies qui ont marqué cette consécration.
La paracha commence par les mots : « Ce fut le huitième jour… », huitième journée de l’inauguration du Tabernacle qui aurait dû être le couronnement faste et glorieux des cérémonies qui ont marqué cette consécration.
Pour ceux qui sont en dehors d'Israel on lira cette semaine la paracha Chemini. Après la mort de Nadav et Avihou, il est devenu interdit à Aaron et à ses descendants de « boire ni vin ni boisson enivrante à leur venue dans la tente d’assignation » (Wayiqra 10, 9), et cette défense a été répétée par Ezéchiel (49, 21)
Le plus sage d’entre les hommes déclare : « Retourne [la Torah] dans tous les sens, elle t’élèvera », (Proverbes, 4, 8). Selon Rachi, d’après le Talmud (Méguila, page 18/a), cela signifie que l’homme doit « creuser » et retourner la Torah dans toutes les sens pour y découvrir ses merveilles.
Comme nous l’avons expliqué la semaine dernière, la période du décompte de l’Omer qui nous conduit jusqu’à Chavouot - le jour du don de la Torah - se différencie de la fête de Pessa’h en cela que, lors de la Sortie d’Egypte, le peuple hébreu ne fut pas sauvé du joug égyptien en vertu des ses propres mérites, mais pour ainsi dire, par la grâce du Ciel : c’est-à-dire par la seule intervention miraculeuse de D.ieu dans l’Histoire.
Cours Vidéo : Paracha Chemini par le Rav Rozenberg Zal
Le mot Tsaw, commente Rachi, implique toujours une idée de zèle. Cela signifie que Aharon a été exhorté à agir immédiatement. Dans un autre contexte, observe le ‘Hanoukath ha-Bayith, le Talmud (Qiddouchin 31a) nous enseigne : « Celui qui accomplit une mitswa pour en avoir reçu l’ordre est plus digne que celui qui l’effectue sans y être astreint. »
Quelles sont les règles à observer, en dehors de celles de Pourim, dans les localités qui étaient déjà entourées de murailles à l’époque de Josué ?
Est on vraiment obligé de boire à Pourim jusqu'à l'ivresse? Le peuple juif a toujours manifesté de la répulsion envers l'ivrognerie, de nombreuses sources en témoignent. Et pourtant, nous apprenons dans la Guemara : « Un homme a l'obligation libesoumei à Pourim jusqu'à ne plus savoir ( ad de-lo yada' ) [la différence] entre : « Maudit soit Haman ! » et : « Béni soit Mardochée ! » ( Meguila 7b).
Pour quelle raison la Meguilath Esther est-elle récitée deux fois, d'abord le soir de Pourim puis le lendemain matin, alors que l'on ne dit qu'une seule fois par an les quatre autres Meguiloth ?