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Le sens de la Kedoucha dans notre quotidien – par Rav Yechaya Arrouas
Cours du Rav Yechaya Arrouas: Le sens de la Kedoucha dans notre quotidien
Le décompte du ‘omer, ou de la prime enfance à la maturité,par le Rav Dov Roth-Lumbroso
Le deuxième jour de Pessa‘h – 16 nissan – nous entamons le décompte des quarante-neuf jours du ‘omèr, aboutissant à Chavou‘oth. Cette supputation nous a été enjointe par Hachem (Wayiqra 23, 15) : « Vous compterez pour vous – du lendemain de la fête, du jour où vous aurez apporté le ‘omèr du balancement – sept semaines ; elles seront complètes. »
Le Omer : La construction de soi, par le Rav Dov Roth-Lumbroso
Pour mieux comprendre la période du Omer: La construction de soi, par le Rav Dov Roth-Lumbroso.
Où acheter du Hametz après Pessah?
MAJ IMPORTANTE : Liste des magasins où l'on peut acheter du hamets après Pessah A L'EXCLUSION DE TOUS LES AUTRES PENDANT ENVIRON 30 JOURS:
L’épreuve terrible dans le Sanctuaire…
Citant le Midrach, Rachi commente ainsi ces premiers mots de la section A‘harei Moth: «Que nous apprennent-ils? Rabbi El‘azar ben ‘Azarya a comparé cela à un malade au chevet duquel arrive un médecin. Celui-ci lui dit: “Ne mange rien de froid, et ne te couche pas dans un lieu humide!”
Vivre par l’accomplissement des Mitsvot
En même temps qu’elle nous demande d’observer fidèlement ses lois, la Tora indique que « l’homme “vivra par elles” (וחי בהם) » (Wayiqra 18, 5). De ce précepte a été tiré une règle fondamentale : On doit vivre par les mitswoth, et non mourir par elles (Voir notamment Yoma 85b). Reste à déterminer le champ d’application de cette règle.
Cours du Rav Yechaya Arrouas : Le sens de la période du Omer
Cours du Rav Yechaya Arrouas: " Le sens de la période du Omer "
« A tout moment » dans le sanctuaire ?
Il est écrit ( Wayiqra 16, 2) que Aaron ne doit pas « entrer à tout moment dans le sanctuaire ». Cette expression semble interdire sa présence permanente, mais permettre des visites occasionnelles. Or, le kohen gadol ne peut entrer dans le sanctuaire qu'une seule fois par an, le jour de Yom Kippour . Pourquoi une formulation aussi imprécise ?
Le ‘Omer : Pourquoi cette période est-elle marquée par le deuil?
La période comprise entre Pessa‘h et Chavou‘oth , appelée ‘Omèr , est marquée, on le sait, par des pratiques proches de celles du deuil. C'est ainsi, en particulier, que l'on ne fréquente pas les salons de coiffure et que l'on ne célèbre pas de mariages ( Choul‘han ‘aroukh , Ora‘h ‘hayim 493).
Le secret de la Téchouva – Cours vidéo de Rav Sadin
La tragique mort des fils de Aharon au sein du Tabernacle est rappelée au début de cette Paracha. Le Zohar la dessus a un commentaire très étonnant, que Rav Sadin nous fait comprendre avec grande clareté
Du mystère de l’interdiction de couper les peot – par le Rav Yehiel Brand
Conférence du Rav Yehiel Brand dans le cadre du Live Zoom des matinales du dimanche de Derech Laolim
La mort des deux fils de Aharon
Le début de la parachath A‘harei Moth est consacré essentiellement au service du Kohen Gadol dans le Tabernacle, puis dans le Temple, le jour de Yom Kippour. Cette paracha commence cependant par un verset qui semble totalement étranger au sujet qui en fait la substance : « Hachem parla à Moïse après la mort des deux fils d’Aaron qui, en s’approchant devant Hachem, étaient morts » (Wayiqra 16, 1)
Le décompte de l’omer : Un décompte au coeur de la polémique !
C’est dans la paracha d’Emor que la Torah énonce la mitsva du décompte de l’omer. Ce commandement, qui consiste en substance à relier la fête de Pessa’h à celle de Chavouot par une supputation quotidienne, s’avéra être dès l’époque du Temple au coeur d’une discussion farouche opposant les Sages de la Michna à la secte des Saducéens.
Le 7ieme jour de Pessah
Le septième jour de Pessa'h , contrairement au dernier jour de Soukoth , n'est pas une fête distincte. Elle n'est que la conclusion des six jours qui la précèdent. C'est pour cette raison que nous ne récitons pas la berakha Chéhé'héyanou en allumant les lumières ni pendant le Qiddouch .
Le compte du ‘omèr, ou de la pluralité vers l’unité
Le deuxième soir de Pessa‘h, nous commençons de compter « le ‘omèr », jusqu’à la fête de Chavou‘oth, conformément à l’injonction divine (Wayiqra 23, 15) : « Vous compterez pour vous – du lendemain de la fête, du jour où vous aurez apporté le ‘omèr du balancement – sept semaines ; elles seront complètes. »