« Après avoir purgé une peine de 20 ans de réclusion dans une prison israélienne, un terroriste peut s’offrir une Ferrari grâce au ‘salaire’ que lui verse tous les mois l’Autorité palestinienne » : c’est ce que révèle le site PMW.

Et de préciser : « Une Ferrari 458 spider coûte un million de shekels et le terroriste libéré peut se l’acheter sans taxes ». En effet, explique PMW, l’exemption du paiement de la taxe sur une voiture neuve fait partie des nombreuses ‘contreparties’ financières accordées par l’AP aux détenus terroristes ainsi qu’aux familles de ceux qui ont été tués en commentant un attentat.

Le ‘salaire’ mensuel, qui commence à 1 400 shekels, est-il encore indiqué, augmente en fonction de la durée du séjour en prison et peut atteindre les 12 000 shekels (pour plus de trente ans). En outre, un petit supplément est accordé pour chaque femme et pour chaque enfant ainsi que pour les résidents de Jérusalem ou d’un autre endroit d’Israël.

PMW nous apprend également que ‘les versements mensuels se basent sur les périodes cumulées du séjour d’un terroriste en prison’. Par exemple, s’il a passé trois ans en prison, a été libéré, et a été une nouvelle fois emprisonné pour d’autres actions criminelles, son traitement au cours de sa seconde incarcération démarrera à 2 000 shekels par mois. Il ne faut pas oublier, dans ce contexte, que les détenus terroristes ont le droit d’acquérir un diplôme universitaire après avoir suivi des études financées par l’Autorité palestinienne.

Mais ce n‘est pas tout : les avantages dont jouissent les détenus terroristes ne s’arrêtent pas après leur libération : selon les règlements appliquées au sein de l’AP, ils continuent à en bénéficier de façon substantielle après leur sortie de prison. Edifiant !!