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Devarim

Prosélytisme et pouvoir

« Tu pourras te donner un roi, celui dont l’Éternel, Ton D.ieu, approuvera le choix : c’est un de tes frères que tu dois désigner pour ton roi ; tu n’auras pas le droit de te soumettre à un étranger, qui ne serait pas ton frère » (Dévarim, 17, 15).

C’est par ce verset que la Torah nous enjoint de ne nommer comme roi qu’un homme issu du peuple d’Israël à proprement parler, et non un prosélyte. Par extrapolation, nos Sages nous apprennent dans le Talmud que non seulement le titre de roi, mais même « tout pouvoir que tu attribueras ne pourra être donné qu’à une personne issue de ton peuple », (Traité Yévamot, page 45/b). De ce fait, nous ne pouvons non plus nommer de prosélytes au titre de « nassi » [prince de la nation] ou de « Av bet din » [chef de tribunal]. Et ce, dans la mesure où ces fonctions supposent une ascendance certaine sur le peuple.

Par |21 août 2009 12:43|Devarim|

Le monde est il une grande relation de causes à effets?

Avec l’esprit rigoureusement rationnel dans lequel ont été éduqués la plupart d’entre nous, nous avons tendance à attribuer toute conjoncture à une cause « logique » qui l’aurait générée. Or si cette approche semble « acceptable », il nous incombe cependant de savoir qu’elle ne reflète absolument pas l’entière réalité…

Dans notre paracha, la Torah énonce la règle relative au meurtrier : « Si quelqu’un, animé de haine pour son prochain, le guette et le frappe de sorte à lui donner la mort, (…) les anciens de sa ville (…) le livreront au vengeur du sang pour qu’il meure », (Dévarim, 19, 11).

Par |21 août 2009 12:37|Devarim|

Les six paliers de la justice

Le trône du roi Chlomo

La paracha Choftim s’ouvre sur ces mots : « Tu institueras des juges et des magistrats dans toutes les villes que D.ieu te donnera. (…) Ne fais pas fléchir le droit, n’aie pas égard aux considérations personnelles, et n’accepte pas de présent corrupteur (…). Ne plante pour toi aucun arbre d’Achéra ni aucun arbre auprès de l’autel que tu dresseras pour le Nom, Ton D.ieu. N’érige pas pour toi de statue, chose odieuse au Nom, Ton D.ieu. N’approche pas en sacrifice un taureau ou un mouton qui aurait un défaut », (Devarim, 16, 18-22).

Par |21 août 2009 12:25|Devarim|

Parachath et haftarath Reè

Parachath Reè ? « Vois? » et « devant vous »

La parachath Reè commence par les mots : « Vois, Je donne devant vous aujourd'hui bénédiction et malédiction? » ( Devarim  11, 26).

Par |11 août 2009 22:28|Devarim|

Amour vrai et faux prophètes

Par le Rav Chalom Bettan de la yéchiva
Cette semaine, la paracha traite du concept du faux prophète, "navi cheker". L'occasion de découvrir un nouveau message de la Thora et le moyen que la Thora nous révèle pour discerner la vérité parmi les mille facettes du mensonge ?

« S'il s'élève au milieu de toi un prophète ou un visionnaire t'offrant pour caution un signe ou un miracle ; quand même s'accomplirait le signe ou le miracle qu'il t'a annoncé, en disant : ?Suivons des dieux étrangers (que tu ne connais pas) et adorons-les.'

Par |11 août 2009 10:34|Devarim|

Et maintenant, Israël

Comme cela est enseigné dans le Traité talmudique Ména’hot, p.43/b, et consigné dans le Choul’han Aroukh (Ora’h ‘Haïm, 46, 3), c’est à partir du verset : « Et maintenant, Israël, ce que D.ieu (Ma haChem), ton D.ieu, te demande uniquement… » (Devarim, 10, 12) que l’on apprend que « tout homme a l’obligation de prononcer au moins 100 bénédictions par jour ».

Par |6 août 2009 11:12|Devarim|

613 mitsvot : Unité et Perfection !

« Tout le précepte que Je vous impose en ce jour, ayez soin de le suivre afin que vous viviez (…) », (Dévarim 8, 1) : c’est en ces termes qu’on traduit - littéralement - ce verset de notre paracha. Mais évidemment, les commentateurs ne manquèrent pas de s’étonner de la forme singulière de cette injonction : n’y aurait-il donc qu’une seule et unique mitsva que nous soyons tenus d’observer afin de « vivre »… ?

Rachi, en premier lieu, rapporte au nom du Midrach un élément de réponse à ce sujet : « Si tu entames une mitsva, termine-la, parce qu’une mitsva n’est appelée qu’au nom de celui qui l’achève ». Selon ce Midrach, il convient donc d’envisager les deux premiers mots de ce verset avec une syntaxe totalement différente de celle de son sens simple : « Kol haMitsva (…) », à savoir « L’achèvement (du verbe ‘vayékhal’ [Il acheva]) de la mitsva est ce que Je vous impose en ce jour ». Mais comme nous allons nous en apercevoir, ce point s’inscrit en réalité dans tout un mode de pensée auquel fait allusion la Torah par ces mêmes mots…

Par |6 août 2009 10:44|Devarim|

Parachath et haftarath ?Eqèv

Parachath ?Eqèv ? « Vous périrez bientôt »

« La colère de Hachem s'enflammera contre vous, Il fermera le ciel, et il n'y aura pas de pluie, et la terre ne donnera pas sa récolte, ?vous périrez bientôt? ( mehèra ) de sur le bon pays que Hachem vous donne » ( Devarim  11, 17).

Par |2 août 2009 20:31|Devarim|

D.ieu effacera les larmes de tout visage (Isaïe, 25, 8)

« Dans une Michna du Traité talmudique Taanit (page 26/b), on peut lire que « dès qu’entre le mois de Av, on diminue les manifestations de joie ». Or, reprenant cet enseignement à la page 29/a, la Guémara ajoute que rav Yéhouda, fils de rav Chmouel bar Chilat, a affirmé au nom de Rav : « De même que lorsque entre le mois de Av, on diminue les manifestations de joie, ainsi quand le mois de Adar fait son apparition, on augmente les manifestations de joie ». C’est cette relation de réciprocité pour le moins étonnante établie entre ces deux mois - ceux de Av et de Adar - que nous voudrions interroger ici en cette veille du jeûne du 9 Av…

En effet, bien que soient consignées dans le Choul’han Aroukh (Ora’h ‘Haïm, 551, 1-2-3) les différentes prescriptions nous obligeant à diminuer les manifestations de joie à partir du premier jour du mois de Av, la question reste posée de savoir comment il nous est donné d’accomplir cette autre prescription d’augmenter les manifestations de joie à l’entrée du mois de Adar.

Par |29 juillet 2009 08:07|Devarim|

Parachath et haftarath Waeth?hanan 2

Parachath Waeth?hanan ? Le Chabbath et ses définitions

Parmi les multiples différences qui séparent l'énoncé des dix Commandements dans la parachath Waeth?hanan de celui que présente la parachath Yithro figure celui concernant le Chabbath .

Dans le livre de Chemoth  est mis en avant le devoir du « souvenir » (« Souviens-toi du jour de Chabbath pour le sanctifier »), tandis qu'il est écrit dans la parachath Waeth?hanan que l'on doit « garder » le Chabbath .

Par |28 juillet 2009 00:03|Devarim|
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