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Vayikra

Parachiyoth et haftarath A?harei moth et Qedochim

Parachath A?harei moth ? La mort des fils d'Aaron

Le premier verset de la parachath A?harei moth ( Wayiqra 16, 1) a suscité de nombreuses interrogations de la part des commentateurs. Parlant de la mort des fils d'Aaron, Nadav et Avihou, ce verset la situe « dans leur approche ( bekorvatham ) devant Hachem  ».

Pourquoi la Tora emploie-t-elle ici un substantif, alors les autres versets qui parlent de la mort de Nadav et Avihou emploient les verbes «  ils approchèrent » ( wayaqrivou ) ( Wayiqra  10, 1) et « lorsqu'ils approchèrent » ( be-haqrivam ) ( Bamidbar  3, 4) ?

Par |27 avril 2009 23:29|Vayikra|

La force du destin

Les Sages révèlent que si le lépreux endure de telles souffrances et une si rigoureuse exclusion, c’est parce qu’il s’est rendu coupable d’une faute bien précise, comme l’orgueil ou la médisance. Car toute plaie, tout événement - et en réalité toutes les circonstances de la vie - ont un dessein bien déterminé. Ce thème sera pour nous l’occasion de retracer brièvement la signification du « nissayon »…

Le mot hébreu nissayon - que l’on traduit à tort ou à raison par « épreuve » - suggère différentes notions ; or celle qui nous intéressera dans le cadre de cet article correspond néanmoins parfaitement à cette traduction dans la mesure où, comme nous nous en apercevrons, elle consiste précisément à « inciter l’homme à faire ses preuves ».

Par |22 avril 2009 13:21|Vayikra|

A propos des mérites d?Israël

Le prophète Isaïe relève aux versets 1 à 3 du chapitre 46 de sa « névouah » un étonnant et intéressant contraste dont il tire plusieurs enseignements fort actuels pour notre génération…

D’une part, Isaïe fustige les nations qui s’échinent à transporter leurs idoles lorsqu’elles ont besoin de les « déplacer » d’un endroit à l’autre. Ce qui signifie au sens figuré que les leaders des nations ne renoncent pas facilement à leurs idolâtries et souhaitent même les « développer » davantage et leur donner du poids, au détriment du public qui souvent n’en peut plus et voudrait se débarrasser d’elles. Mais d’autre part, Isaïe loue le peuple d’Israël - non seulement Yéhouda mais aussi les descendants des Dix Tribus qui l’ont rejoint - lesquels font tout ce qu’ils peuvent dans l’accomplissement des mitsvot. Ce qui est bien difficile pour un peuple spirituel évoluant dans un environnement matérialiste.

Par |22 avril 2009 13:14|Vayikra|

Rav Rozenberg : Paracha Tazria / Metsora




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Par |21 avril 2009 23:49|Vayikra|

Parachiyoth Tazri’a et Metsora’ et haftarath Chabbath roch ‘hodèch

Parachiyoth Tazri?a et Metsora' ? Torath ha-metsora'

Les deux parachiyoth Tazri?a et Metsora' , que nous lisons cette année le même Chabbath , traitent l'une et l'autre du même sujet : le néga' tsara?ath , improprement appelé la « lèpre ».

Le « malade », une fois guéri, doit présenter en offrandes, afin de se purifier, deux oiseaux, dont l'un sera égorgé et l'autre sera rendu à la liberté ( Wayiqra 14, 4 et suivants).

Par |19 avril 2009 23:16|Vayikra|

Totem et tabou

LES SACRIFICES constituent sans aucun doute l’une des interrogations majeures du judaïsme. Quel sens en effet peut-il y avoir à amener le monde animal - et même végétal - à servir les visées religieuses (sacrées) de l’humanité ? Ne serait-ce pas là l’expression d’une profonde méconnaissance de sa raison d’être ? Pour preuve, n’avons-nous pas assisté ces derniers siècles à l’édification d’une société enfin « libérée » de son rapport au divin et qui, exempte désormais de toute « dette » envers la transcendance, a prouvé qu’il était possible de vivre un rapport authentique - parce que véritablement humain - au monde au-delà de toute sacralisation en excès ?

Par |25 mars 2009 14:59|Vayikra|

La voix du Sinaï

A l’intérieur de la tente

La Paracha Vayikra (1, 1) s’ouvre sur ces mots : « Il appela Moché et D.ieu lui parla de la tente d’assignation pour lui dire ». Commentant ce verset, le Midrach (Torat Cohanim, 1, 4) enseigne : « ‘De la tente d’assignation’ : cela nous apprend que le son de la voix s’arrêtait et ne sortait pas en dehors de la tente. Est-ce parce que le son de la voix était faible ? Non, car le verset précise : ‘La voix’, (Bamidbar, 7). Or, de quelle voix s’agit-il ? De celle qui est explicitement décrite dans les Psaumes : ‘La voix de l’Eternel est forte, la voix de l’Eternel est majestueuse, la voix de l’Eternel brise les cèdres’, (Tehilim, 29, 4-5). S’il en est ainsi, pourquoi est-il dit : ‘De la tente d’assignation’ ? Afin de nous enseigner que la voix s’arrêtait [et ne dépassait pas la tente d’assignation-Ndlr]. Ainsi qu’il est écrit par ailleurs : ‘La voix des ailes des anges se faisait entendre jusqu’à la cour extérieure [du temple] comme l’exclamation de la voix du D.ieu Tout-puissant [Kel Chakaï] quand Il parle’, (Ezéchiel, 10, 6). Est-ce parce que le son de la voix était faible ? Non, car le verset précise : ‘Comme l’exclamation de la voix du D.ieu Tout-puissant quand Il parle’. Or, par ailleurs, il est dit : ‘Et j’entendais le bruit de leurs ailes quand elles s’avançaient pareilles au murmure d’eaux puissantes, à la voix du Tout-puissant ; une voix tumultueuse, comme celle d’un campement’, (Ezéchiel, 1, 24) ».

Par |25 mars 2009 14:46|Vayikra|

La lumière du joug divin

En entamant le troisième Livre de la Torah dont la vocation principale consiste à énoncer les lois des sacrifices et du service sacerdotal, D.ieu interpelle Moché en ces termes : « Il appela [Vayikra] Moché et lui parla ainsi depuis la Tente d’assignation (…) ». Le fil conducteur qui relie cet appel lancé depuis le Sanctuaire avec l’offrande d’animaux est riche et profond. A travers plusieurs discours prononcés par le rav Chmouël Bornstein de Sokhotchov zatsal, l’auteur du « Chem miChmouël » (décédé en 1926) transmis et transcrits dans son ouvrage au fil des années, nous pourrons percevoir quelques étincelles de la grande lumière qui se cache derrière ces enseignements.

Par |25 mars 2009 14:39|Vayikra|

La pureté de l’âme juive

La pureté de l’âme juive La coutume veut que dès leur plus jeune âge, les enfants d’Israël fassent leurs premiers pas dans l’étude par celle des sacrifices ! Ceux-là ne constituent-ils pas pourtant l’une des dimensions les plus difficiles de la Torah ?

Les premiers pas…

Dans le Midrach, il est écrit en effet : « Rabbi Assi a demandé : ‘Pour quelle raison commence-t-on à enseigner la Torah aux jeunes enfants avec la Torat Cohanim [c’est-à-dire avec les lois concernant les sacrifices : la paracha Vayikra- Ndlr.], et ne débute-t-on pas par Béréchit ?’. Il répondit : ‘Parce que de même que les jeunes enfants sont purs, les sacrifices sont purs. Que viennent donc ceux qui sont purs et qu’ils étudient ce qui est pur ! », (Vayikra Raba 7, 3).

Par |25 mars 2009 14:22|Vayikra|

Parachath et Haftarath Wayiqra

Parachath Wayiqra ? Pourquoi la lettre alef du mot wayiqra est-elle « miniaturisée » ?

La « miniaturisation » de la lettre alef , dernière lettre du mot wayiqra , lui-même premier mot du livre qui porte ce nom, a été expliquée de diverses manières.

Pour le Midrach ( Chemoth  rabba  47, 6), elle est à rattacher à un épisode de la vie de Moïse que rapporte le dernier chapitre de Chemoth : Lorsqu'il est descendu du mont Sinaï, tenant en main les tables du « témoignage », sa peau s'est mise à rayonner sans qu'il s'en rendît compte ( Chemoth  34, 29).

Par |22 mars 2009 18:03|Vayikra|
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