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Vayikra

Parachath Tsaw : L’interdiction du sang

La parachath Tsaw interdit dans deux versets ( Wayiqra  7, 26 et 27) la consommation du sang d'un animal sous peine de kareth (« retranchement »), et cette interdiction est renouvelée dans Wayiqra  17, 11 et Devarim 12, 23 avec l'indication de sa motivation : « ? car le sang c'est l'âme ».

De nombreuses explications ont été proposées à propos de cette interdiction.

Par |18 mars 2008 12:47|Vayikra|

La Parole : « Une Source de Vie »

Image Exemple La parole : une source de vie.
Par le Rav Dov Lumbroso-Roth Chlita



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Par |20 décembre 2006 18:25|Vayikra|

BEHAR : UNE CONFIANCE ABSOLUE

Commentaires sur la Parachat Behar : Une confiance absolue. Par le Rav Eliahou Elkaïm de la yéchiva

En nous offrant le Chabbath et l'année sabbatique, D.ieu nous donne l'occasion d'accéder à une compréhension métaphysique du monde, et de ressentir une sensation unique : une confiance absolue, qui se passe de toute question?

Notre paracha commence par l'ordre divin qui concerne l'année sabbatique ( chemita ), année pendant laquelle la terre d'Israël doit rester en friche.

« La terre sera soumise à un chabbat pour l'Eternel » (Lévitique 25 ; 2)

Dans son commentaire, Na'hmanide cite les mots du Sifra à ce sujet :

Par |18 mai 2006 18:20|Vayikra|

BEHOUQOTHAI

PARACHATH BE‘HOUQOTHAI

Si vous marchez selon Mes statuts et vous gardez Mes commandements. (26, 3)

Ce verset signifie, selon Rachi, que nous devons nous donner de la peine dans l’étude de la Tora. Dans l’introduction de son Sifra de-Tsni‘outa, Rav ‘Hayim de Volozhin rapporte sur son Maître, le Gaon de Vilna: «IL était très souvent visité par des maguidim (“inspirateurs célestes”), qui voulaient lui communiquer des secrets de la Tora sans qu’il ait à s’efforcer pour les découvrir et les connaître. Mais il les éconduisait et n’était pas prêt à les écouter. Quand l’un d’eux insista pour lui livrer son message, le Gaon lui répondit qu’il n’aspirait pas à acquérir la Tora sans y peiner, et qu’il ne voulait donc absolument pas recueillir ce que ces agents célestes voulaient lui transmettre.

Si vous marchez selon Mes statuts. (26, 3)

Selon l’enseignement du Midrach (Wayiqra Rabba 35, 1), ce verset est à mettre en rapport avec ce qui est écrit ailleurs (Tehilim 119, 50): «J’ai ramené mes pas vers Tes témoignages.»

Un adepte de la Haskala («Emancipation») vint trouver un jour le ‘Hafets ‘Hayim pour lui poser la question suivante: Pourquoi se fatiguait-il tant à publier des ouvrages à caractère éthique et s’échinait-il de la sorte à communiquer de la yireath Chamayim («crainte du Ciel») à ses coreligionnaires? Ne valait-il pas mieux rédiger des récits tirés de la vie, ou s’intéresser à des sciences contribuant à l’organisation et à la bonne marche de la société? Cela lui vaudrait assurément plus de gloire, et certainement plus d’argent!

Le vénérable Sage lui répondit par une métaphore: Un homme se rendait à pied dans la ville voisine en portant un grand sac sur ses épaules. Vint à passer une voiture somptueuse, attelée à de magnifiques chevaux. Prenant en pitié le marcheur sur le point de crouler sous son bagage, le voyageur lui proposa de se joindre à lui. «Merci de votre aimable proposition! lui répondit le piéton, mais je ne puis y répondre, pour une raison très simple: Nous ne nous dirigeons pas vers la même destination. Vous progressez vers le lieu dont je viens, alors que j’avance moi-même vers votre provenance…»

Se consacrer aux considérations de ce monde peut effectivement être plus rentable et lucratif, conclut le ‘Hafets ‘Hayim, mais je ne marche pas sur cette voie. Bien au contraire, je m’en éloigne autant que possible!

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Si vous marchez selon Mes statuts. (26, 3)

A l’époque où Rav Mechoulam Igra servait comme Rav et juge rabbinique à Tismenitz, deux hommes d’une ville voisine vinrent lui demander d’arbitrer le différend qui les opposait. Après avoir écouté attentivement leurs arguments, Rav Mechoullam leur demanda de bien vouloir revenir le lendemain. L’affaire était complexe, leur dit-il, et il devait prendre le temps de bien l’analyser avant d’émettre sa sentence. En sortant de chez lui, les deux plaideurs, estimant qu’ils n’avaient pas le temps d’attendre jusqu’au lendemain, décidèrent de présenter leur cas au Rav de leur ville.

Ayant écouté leurs développements respectifs, il leur demanda bien vouloir attendre dans une pièce attenante. Sur ce, le Rav entra dans une autre chambre, lui aussi, et pria Hachem, en sanglotant, de bien vouloir le guider et lui permettre de juger correctement cette affaire d’une grande complexité qui venait de lui être présentée, car il ne savait pas de quelle manière la résoudre, et craignait que cette incompétence ne le fît passer aux yeux de sa communauté comme inapte à poursuivre son activité rabbinique. Du Ciel, ses prières furent entendues, et il eut l’inspiration soudaine de consulter un certain ouvrage de responsae, où figurait exactement la même question ardue. Le rabbin en conçut une immense joie, et s’empressa d’aller trouver les plaideurs et de leur communiquer sa décision.

Quelque temps plus tard, les deux hommes durent se rendre une nouvelle fois à Tismenitz. Bien que leur cas eût déjà été jugé, ils se dirent que, par correction, ils devraient quand même aller trouver Rav Mechoulam et entendre ce que lui-même avait décidé et de quelle manière il avait réglé leur litige. Ils vinrent donc le trouver, et commencèrent par s’excuser de n’être pas revenus alors comme il leur avait dit, et lui demandèrent ce qu’il avait statué à leur sujet. Rav Mechoulam leur communiqua sa sentence qui, en tous points, était l’exacte réplique de celle émise par le Rav de leur ville, ce qui fit sourire les deux hommes. Intrigué par leur réaction, Rav Igra leur demanda ce que sa décision avait de drôle. Les plaideurs ne purent se dérober… Ils lui avouèrent donc que, pris par le temps, ils avaient été contraints de soumettre leur cas à tel Rav, qui avait émis exactement la même décision, et ce quelques minutes après les avoir entendus…

Rav Mechoulam en fut profondément impressionné. Un Rav capable de trancher une question si complexe avec une telle promptitude est assurément un génie! se dit-il. Il se devait donc de l’honorer et de lui rendre visite.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Quand Rav Mechoulam arriva auprès de ce rabbin, celui-ci s’empressa de lui demander ce qui lui valait la visite d’un Gaon et Maître de cette stature. Rav Igra lui confia qu’il avait été profondément impressionné par la manière dont il avait si rapidement réglé le différend complexe qui opposait les deux hommes. Le Rav lui confia alors comment les choses s’étaient passées, et que, incapable de régler leur dispute, il avait épanché son cœur vers Hachem pour qu’Il le guide et lui dévoile la décision à rendre.

Ayant entendu le fin mot de l’histoire, Rav Mechoulam en perdit son émerveillement, et déclara laconiquement: «Nous tous sommes capables de pleurer pour être guidés, mais la bonne façon d’agir consiste à peiner dans l’étude et l’acquisition de la Tora!»

Il prit congé du rabbin et rentra chez lui…

 

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Parmi les grandes personnalités rabbiniques qui servirent les communautés juives d’Europe de l’Est au dix-neuvième siècle, Rav Naftali Tsevi Yehouda Berlin – le Netsiv – fut la figure emblématique de la «peine» et du travail acharné dans la Tora. Toute sa vie, depuis ses premières années, fut une succession ininterrompue de persévérance et d’acharnement dans la Tora.

Lors d’une fête de Soukoth, le Netsiv remarqua que Rav ‘Hayim Soloveitchik – mari de sa petite-fille – renâclait à utiliser son ethrog («cédrat»). Il lui demanda de s’en expliquer. Rav ‘Hayim lui répondit que le ethrog provenait d’Erets Yisrael et que l’on était à l’issue d’une année de Chemita. Bien qu’il ait été cultivé sur un terrain appartenant à un non-Juif, c’était bel et bien un ethrog de Chemita et il préférait s’abstenir de prononcer dessus la bénédiction d’usage.

«S’il en est ainsi, réagit le Netsiv, le même problème se pose pour moi.» Sur ce, il rentra chez lui.

Au milieu de la nuit, un élève de la yechiva de Volozhin vint frapper à la porte de Rav ‘Hayim. «Votre grand-père vous appelle…» Effrayé au plus haut point, Rav ‘Hayim s’habilla aussi rapidement que possible et, le cœur battant la chamade, s’empressa d’aller chez le Netsiv, qu’il trouva absorbé dans une pile de livres. Quand celui-ci l’aperçut, il lui livra tout ce qu’il avait appris sur un tel ethrog; il tenta de lui démontrer sa parfaite cacherouth et de lui enlever tous ses doutes.

Rav ‘Hayim l’interrompit poliment, pour lui signaler qu’il n’avait pas encore prononcé la bénédiction de la Tora – qui s’impose avant l’étude – et qu’il aimerait donc le faire avant d’entendre les conclusions du Maître. A peine eut-il commencé de réciter la berakha qu’il entendit le Netsiv sangloter et verset d’abondantes larmes. Quand il eut terminé la bénédiction, il s’empressa de lui demander la raison de ses pleurs.

«Comment ne pleurerais-je pas alors que le jeune homme que vous êtes et dont nous espérons tant n’est pas assis à étudier la Tora à quatre heures du matin? Vers où la prochaine génération se dirige-t-elle?!»

*

Des années plus tard, quad Rav ‘Hayim Soloveitchik racontera cette histoire à son fils, Rav Yits‘haq Zeèv, il ajoutera: «On parle habituellement de la régression des générations. Pour ma part, je dis que cette baisse ne se produit pas seulement entre une génération et la suivante, mais au sein de notre génération elle-même – entre le Netsiv et moi-même, par exemple.

Celui-ci n’a pas compris comment il est possible d’être un grand maître en Tora si l’on dort à quatre heures du matin, au point qu’il en a pleuré à chaudes larmes!»

Et nous, que dirons-nous?…

Par |25 avril 2006 21:42|Vayikra|

BEHAR

PARACHATH BEHAR

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Hachem parla à Moché au mont Sinaï en disant. (25, 1)

Rav Chelomo Bloch, qui fut un proche disciple du ‘Hafets ‘Hayim, a rapporté l’explication suivante au nom de son Maître.

Un enseignement moral de grande importance nous est livré par ce verset: «Hachem parla à Moché au mont Sinaï…» Le Saint béni soit-Il, Roi et Maître de l’univers, est tout simplement descendu dans le monde terrestre, matériel et méprisable, pour nous transmettre les lois de Sa Tora. A quoi cela ressemble-t-il? A un roi humain qui quitterait son palais fastueux pour se rendre, avec tout le cérémonial de cour, dans un petit village délaissé. Cette venue du souverain et de son proche entourage ne contraindrait-elle pas les villageois à déployer tous les efforts possibles pour exprimer leur respect et leur allégeance au monarque? Celui-ci aurait renoncé à sa résidence glorieuse et somptueuse pour s’établir dans leur modeste hameau!

Voilà pourquoi, poursuit Rav Chelomo Bloch, les lois de Chemita («année chabbatique de la terre») font directement suite au verset rapportant que «Hachem a parlé à Moché au mont Sinaï». L’observance de ces règles requiert une grande force de caractère et une profonde foi, au point que nos Sages ont désigné ceux qui les respectent comme des êtres guiborei koa‘h, «d’une force puissante». C’est pourquoi, afin de nous mettre face à notre obligation d’observer tous les commandements, y compris ceux qui posent le plus de difficultés, la Tora a juxtaposé la mitswa de Chemita à ce verset chargé de ce message moral sans pareil.

…au mont Sinaï… (25, 1)

Pourquoi l’épisode du blasphémateur – dans le dernier chapitre de la paracha précédente – est-il suivi de la mention du mont Sinaï?

C’est au mont Sinaï que tout Israël avait entendu la prohibition (Chemoth 20, 7): «tu n’invoqueras pas le Nom de Hachem, ton Dieu, en vain…» explique le Ba‘al ha-Tourim, et le monde entier avait alors tremblé. Cet homme aussi l’avait entendu, mais il n’y a pas pris garde.

On peut également expliquer cette juxtaposition en citant l’enseignement talmudique selon lequel «les Sages transmettaient à leurs élèves [la juste prononciation et la signification] du Nom de quatre lettres une fois tous les sept ans» (Qiddouchin 71a). Voilà pourquoi cet épisode est suivi des lois de Chemita: «six années, tu ensemenceras ton champ […] et à la septième année, ce sera pour le pays un Chabbath de repos» (versets 3-4).

*

Quel rapport existe-t-il entre les lois de Chemita et le mont Sinaï? se demande également le Sefath Emeth.

Et ce Maître de répondre: Selon l’enseignement de nos Sages (Avoth 4,9), «celui qui accomplit [les commandements de] la Tora dans la pauvreté finira par les observer dans l’opulence.» Quand un homme connaît les privations et le dénuement, il doit faire preuve d’une foi et d’une confiance en Hachem suffisamment puissantes pour ne pas devenir obsédé par les richesses et l’aisance matérielles qui lui manquent si cruellement. De son côté, celui qui jouit du confort et de la richesse en ce monde doit déployer des efforts continuels pour ne pas devenir orgueilleux et ne pas oublier que tout ce qu’il possède lui vient de Hachem, Créateur et Maître du monde. Comme l’affirme le roi Chelomo (Michlei 30, 8-9): «Ne me donne ni pauvreté ni richesse […] car, dans la satiété, je pourrais Te renier en disant: “Qui est Hachem?”» Voilà pourquoi nos Sages ont affirmé: «celui qui accomplit la Tora dans la pauvreté…» et qui a surmonté cette épreuve sans que son dénuement ne porte atteinte à son observance des mitswoth, Hachem le fera accéder à la richesse, tout en lui assurant qu’il traversera également avec succès cette épreuve, sans qu’il en vienne à demander: «Qui est Hachem?»

C’est ainsi qu’Il a dirigé les enfants d’Israël durant leur séjour dans le désert: «Il t’a affligé, Il t’a affamé» (Devarim 8, 3), ce afin de les préparer à affronter également l’épreuve de l’opulence, et de leur permettre ainsi de s’adonner à la Tora et de l’observer en Erets Yisrael.

Tel est également le principe qui sous-tend le commandement de la Chemita: L’homme ne doit jamais faire du travail de la terre et de ses moyens de subsistance sa première préoccupation et l’objectif fondamental de son existence. Quand il aura observé dûment l’année de Chemita avec toutes ses lois, et qu’il aura surmonté avec succès cette épreuve de la «pauvreté» – après six années de travail agricole – il méritera, durant les six années suivantes, de pouvoir s’adonner à la Tora et «de l’observer dans l’opulence».

*

Selon le Beith Yisrael, il existe une autre raison pour laquelle la Tora a introduit les lois de Chemita en affirmant que Hachem a parlé à Moché au mont Sinaï. L’un des principes soulignés par la Chemita est qu’il n’y a pas de place pour la question: «que vais-je manger?», Hachem nous ayant promis (infra verset 21): «J’ordonnerai Ma bénédiction pour vous».

Il en va de même pour la Tora en général. On ne doit jamais se demander: «Comment me sustenterai-je si je me consacre à la Tora?» Nos Sages ont affirmé (Avoth 3, 5): «Celui qui accepte le joug de la Tora, on le décharge […] du joug de son gagne-pain». Non seulement Hachem lui fournira sa subsistance, mais les fruits et bénéfices procurés par son travail seront en totale conformité avec la Tora et n’entraîneront aucun dommage.

Par |25 avril 2006 21:40|Vayikra|

METSORA

Celle-ci sera la loi du lépreux. (14, 2)

Les Sages du Talmud ( ?Arakhin 15b) affirment: «Les affections lépreuses résultent du lachon ha-ra' (?médisance?).»

Ne nous étonnons pas, explique le Mé?am Lo?èz ? citant le ?Aqeida ? si de nombreuses personnes habituées à médire sont en bonne santé et ne souffrent pas de tsara?ath ni d'aucune autre maladie. En réalité, la «lèpre» dont parle la Tora affecte soit le corps, soit l'âme. Si elle n'a pas atteint le premier, c'est parce qu'elle a touché la deuxième. Or, la tsara?ath de l'âme est la plus grave et, selon l'enseignement du Zohar , un emplacement particulier, dans le Palais de Hachem, est réservé aux âmes de ceux ayant médit, où elles souffrent et endurent leur punition.

Par |25 avril 2006 21:31|Vayikra|

TAZRIYA

Parle aux fils d'Israël ( benei Yisrael ) en disant: Quand une femme concevra et enfantera? (12, 2)

Pourquoi fallait-il parler aux «fils» et non aux «filles» d'Israël ( benoth Yisrael )? N'eût-il pas été logique de leur communiquer ces lois qui concernent directement les femmes? Selon de nombreux commentateurs, la Tora nous enseigne ainsi que la mitswa d'avoir des enfants incombe à l'homme, et non à la femme ( Yevamoth 65b).

Par |25 avril 2006 21:23|Vayikra|

VAYIQRA

Il appela Moché. (1, 1)

La lettre alef du mot wayiqra (« Il appela ») est de taille réduite. Selon Rabbi Ya?aqov ben Acher, le Ba?al ha-Tourim, cette particularité s'explique par le fait que Moché, dans sa profonde humilité, aurait voulu qu'il soit écrit wayiqar (« Il survint ») ? dérivé du terme miqré ? ce qui aurait suggéré que Hachem lui était apparu fortuitement, dans un rêve. Ce verbe est celui employé au sujet de la prophétie recueillie par Bil?am (Bamidbar 23, 4) : « Dieu survint (wayiqar) à Bil?am? »
Le Saint béni soit-Il lui ayant alors enjoint d'ajouter un alef, Moché, le plus humble des hommes, Lui a demandé l'autorisation de faire paraître cette lettre plus petite que les autres, et l'a ainsi calligraphiée.

Par |13 décembre 1901 22:45|Vayikra|

CHEMINI

Ce fut au huitième jour. (9, 1)

Moché a officié comme grand prêtre pendant les sept premiers jours de l'inauguration du Tabernacle. Quand Hachem S'était révélé à lui dans le Buisson ardent, explique le Ba?al ha-Tourim, il avait refusé pendant sept jours la mission dont Il voulait le charger. Il méritait donc d'accomplir le service pendant sept jours seulement.

Et les anciens d'Israël. (9, 1)
Rabbi ?Aqiva a enseigné : « Israël est comparé à un oiseau. De même que celui-ci ne peut voler sans ses ailes, de même Israël ne peut-il rien accomplir sans ses anciens » (Wayiqra Rabba 11, 8).
Cette similitude établie spécifiquement pour Israël, note Rav ?Hayim Shmulevitz, montre que, par leur nature même, les nations diffèrent profondément de notre peuple.

Par |13 décembre 1901 22:45|Vayikra|
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