La parabole de la semaine: Michpatim
Voici une histoire que illustre comment tout ce que l’on gagne par le mensonge ne porte pas chance, car on finit très rapidement par le perdre…
Voici une histoire que illustre comment tout ce que l’on gagne par le mensonge ne porte pas chance, car on finit très rapidement par le perdre…
Les premiers versets de la parachath Michpatim instituent un système d’« esclavage » totalement révolutionnaire par rapport aux autres législations en honneur dans l’Antiquité, système qui le fait ressembler davantage à un « contrat de travail à durée déterminée » qu’à une véritable servitude.
Il est écrit dans notre paracha que « lorsqu’un homme vole un bœuf ou un mouton, il devra payer cinq pièces de gros bétail à la place du bœuf et quatre moutons à la place du mouton » (Chemoth 21, 37). Explication de Rachi : Le voleur n’a pas eu à se baisser pour le bœuf, tandis qu’il a dû se baisser pour le mouton. Et comme il s’est humilié en se baissant, sa peine est moins lourde. N’est-il pas étrange que la Tora prenne tellement soin de préserver la dignité du voleur ?
Pourquoi les lois sur le statut du serviteur juif font-elles immédiatement suite au chapitre relatif au don de la Tora ?
Cours Audio du Rav Dov Roth-Lumbroso
Le dernier verset de notre paracha annonce : « Moché pénétra au milieu du nuage et s’éleva sur la montagne. Il resta sur cette montagne quarante jours et quarante nuits » (Chémot 24, 18).
« Si tu vois l'âne de celui qui te hait succomber sous sa charge, garde toi de l'abandonner ; aide-lui au contraire à le décharger » ( Chemoth 23, 5).