La parachath Tetsawé commence par les mots : « Et toi, tu ordonneras aux enfants d’Israël qu’ils prennent vers toi une huile pure d’olive concassée pour le luminaire… » (Chemoth 27, 20).

Pourquoi ce verset emploie-t-il le mot « olive », au singulier, alors qu’il aurait été plus approprié, compte tenu de la quantité d’huile nécessaire à l’allumage de la menora, d’employer le mot « olives », au pluriel ?

Au moment de la construction du Tabernacle, les enfants d’Israël ne détenaient que les olives qu’ils avaient emportées d’Egypte, pays dans lequel elles avaient pu devenir impures.

Or, il est de règle que si la taille d’une olive frappée d’impureté est plus grande que celle d’un œuf, l’huile que l’on en extrait est elle-même impure (Pessa‘him 33b).

C’est pourquoi Moïse a ordonné, par précaution, que l’on ne presse que des olives de taille moindre, et à raison d’une seule à la fois, afin que l’huile ainsi obtenue ne risque pas de transmettre de l’impureté (D’après VEDIBARTA BAM).

Pourquoi ce verset emploie-t-il le mot « olive », au singulier, alors qu’il aurait été plus approprié, compte tenu de la quantité d’huile nécessaire à l’allumage de la menora, d’employer le mot « olives », au pluriel ?

Au moment de la construction du Tabernacle, les enfants d’Israël ne détenaient que les olives qu’ils avaient emportées d’Egypte, pays dans lequel elles avaient pu devenir impures.

Or, il est de règle que si la taille d’une olive frappée d’impureté est plus grande que celle d’un œuf, l’huile que l’on en extrait est elle-même impure (Pessa‘him 33b).

C’est pourquoi Moïse a ordonné, par précaution, que l’on ne presse que des olives de taille moindre, et à raison d’une seule à la fois, afin que l’huile ainsi obtenue ne risque pas de transmettre de l’impureté (D’après VEDIBARTA BAM).

Jacques Kohn