Paracha Pekoudei: Les habits du Cohen
Comme nous l’annoncions dans Tetsavé, complétons pour cette semaine l’étude sur les habits du Cohen Gadol, en expliquant la corrélation entre les vêtements et les fautes qu’ils expient.
Comme nous l’annoncions dans Tetsavé, complétons pour cette semaine l’étude sur les habits du Cohen Gadol, en expliquant la corrélation entre les vêtements et les fautes qu’ils expient.
Le Cohen Gadol porte au-dessus de son front le Tsits –une petite plaque en or– sur lequel sont gravés les mots Kodesh laShem – sanctifié pour Hashem – afin de raviver en chaque juif cette conviction : ‘Je suis entièrement voué à Hashem, et Sa volonté est l’essence et l’intention primaire de toutes mes pensées !’ Quoi de plus évident que ce Tsits expie alors le vilain défaut de l’effronterie utilisé dans un mauvais contexte !
La paracha nous apprend, à propos de la plaque ( tsits ) dont était revêtue la tiare du kohen gadol : « Ils firent la plaque, diadème de la sainteté d'or pur, et ils écrivirent sur elle une écriture en gravures de cachet : ?Sainteté pour Hachem ? » ( Chemoth 39, 40). Pourquoi est-il écrit : « ils écrivirent », au pluriel, alors qu'il aurait été plus logique d'employer le singulier : « il écrivit » ?
Dans ce cours sur la paracha Vayakel, le Rav Dov Roth-Lumbroso revient sur la construction du Mishkan et met en parallèle le chabat, la faute du veau d'or et le tabernacle. Quelle leçon doit-on en tirer pour notre génération ?
Cours vidéo du rav Sim Bloch sur la Parachat Pekoudei
« Moché convoqua toute la communauté des enfants d'Israël et leur dit : “Voici les choses que l'Éternel a ordonné d'observer” » (Chémot 35, 1) Rachi rapporte que cela se passa le lendemain de Yom Kippour, lorsqu'il descendit du mont Sinaï.
Parachath vayaqhel-Peqoudei – Le « rideau » dans nos synagogues.Parmi les ornements qui ont décoré la Tente d’assignation figurait le « voile du rideau » (פרוכת המסך) dont parle la Tora dans Chemoth 39, 34 et 40, 21.
C’est en souvenir de l’obligation qui incombe à chaque membre du peuple d’Israël d’amener au Temple le demi-sicle (Ma’hatsit haChékel) afin de prendre part aux sacrifices collectifs (Korbanot Tsibour) que nous lisons la paracha « Chekalim ». Mais en quoi ces deux réalités - les Chekalim et le Tsibour - sont-elles à ce point liées?
L’épisode du Veau d’or est rempli de zones d’ombres. Comment envisager que, quelques semaines seulement après le Don de la Torah, les enfants d’Israël aient pu se compromettre dans une idolâtrie aussi grossière ? Les commentateurs s’évertuèrent de résoudre cette énigme…
Celui qui, dans une synagogue, suit la lecture de la parachath Ki thissa , ne manque pas d'être étonné. En règle générale, la division des parachiyoth en sept parties, correspondant aux sept personnes qui sont appelées à côté de l'officiant, est relativement équilibrée.