La flamme du Zohar qui brûle en nous – Rav Breisacher
Découvrez Lag BaOmer à Meron il y a plus de 80 ans.
Omer, du deuil à la gloire - Rav Raphael Sadin
Cours du Rav Itshak Assouli: " Omer et LagBaomer "
Ce géant parmi les Tanaims est né en Erets Israël, au Ier siècle. Il fait partie de la 3 ème génération des Tanaims. Fils d'un converti nommé Joseph, Rabbi Akiva est, jusqu'à ses 40 ans, un paysan, profondément pieux mais totalement ignorant.
Le Tour enseigne : « Il est de coutume de ne pas se marier entre Pessa’h et Atsérèt [Chavouot]. La raison en est qu’on ne multiplie pas les manifestations de joie, car c’est pendant cette période que décédèrent les élèves de rabbi Akiva » (Ora’h ‘Haïm, 493). Une décision halakhique tirant son origine d’un passage du Traité talmudique Yévamot (p.62/b) où il est enseigné que rabbi Akiva avait 24 000 élèves qui, tous, moururent pendant une seule et même période (béPérèk é’had), parce que, explique la Guémara : « ils ne s’étaient pas comportés avec "respect" les uns envers les autres – lo nahagou kevod zé lazé ».
La parachath Emor contient, entre autres mitswoth, celle de la supputation du ‘Omèr : « Vous compterez pour vous, du lendemain du chabbath… »(Wayiqra 23, 15). Pourquoi, s’agissant d’une mitswa qui se renouvelle chaque année, ne récitons-nous pas la berakha Chéhé‘héyanou ?
Conférence du Rav Daniel Abdelhak, dans le cadre du Live Zoom des matinales du dimanche de Derech Laolim
A moins d'une semaine de Lag BaOmer, les préparatifs battent leur plein à Méron, en Galilée, où on attend, comme chaque année, des dizaines de milliers de personnes.