« Chacun de nos membres a une fonction spirituelle » par Rav ‘Haim Chmoulevitz de Sihot Moussar
Texte tiré de l'ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso Éditions Olam Hassefer
Texte tiré de l'ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso Éditions Olam Hassefer
Les lois de la paracha Michpatim sont des lois que l'on comprend et qui concernent essentiellement la vie en société. Mais pourquoi ces lois ont-elles été données après les 10 commandements ? Le Rav Dov Roth-Lumbroso-Roth va tenter de nous donner quelques explications.
Durant cette période de Shovavim on a l’habitude de se renforcer dans la Taharat Hamichpa’ha: la pureté familiale!
Cours destinés uniquement aux personnes mariées.
Retrouvez les 14 premiers cours donnés par le Rav Dov Roth-Lumbroso.
La sortie d'Egypte en Chevat
Cours donné par le Rav Nathan Mrejen dans le cadre des matinées pour femmes à Derech Laolim
La paracha Michpatim nous enseigne ce que doit être notre approche de l’argent. En effet, il faut savoir comment considérer la fortune et les biens matériels. Quelle est donc la manière de considérer l’argent prônée par la Torah ?
Il est écrit que l’on doit décider selon la majorité (Chemoth 23, 2). Ne devrions-nous pas, à ce compte-là, nous qui sommes une infime minorité, nous plier à la majorité, celle des peuples du monde ?
Les premiers versets de la parachath Michpatim instituent un système d’« esclavage » totalement révolutionnaire par rapport aux autres législations en honneur dans l’Antiquité, système qui le fait ressembler davantage à un « contrat de travail à durée déterminée » qu’à une véritable servitude.
Il est écrit dans notre paracha que « lorsqu’un homme vole un bœuf ou un mouton, il devra payer cinq pièces de gros bétail à la place du bœuf et quatre moutons à la place du mouton » (Chemoth 21, 37). Explication de Rachi : Le voleur n’a pas eu à se baisser pour le bœuf, tandis qu’il a dû se baisser pour le mouton. Et comme il s’est humilié en se baissant, sa peine est moins lourde. N’est-il pas étrange que la Tora prenne tellement soin de préserver la dignité du voleur ?
Pourquoi les lois sur le statut du serviteur juif font-elles immédiatement suite au chapitre relatif au don de la Tora ?