Tazria-Metsora La pureté et l’impureté par le Rav Dov Roth-Lumbroso
Cours audio sur les Parachiot Tazria Metsora par le Rav Dov Roth-Lumbroso
Cours audio sur les Parachiot Tazria Metsora par le Rav Dov Roth-Lumbroso
Aborder rationnellement le thème de l’impureté n’est pas chose aisée. Si généralement, on conçoit cette notion une valeur purement spirituelle – fait exclusif d’une volonté de la Torah auquel on ne saurait attribuer aucune pathologique – certains critères de ce domaine tende à prouver qu’il n’en est rien.
La parachath Tazria commence par les mots : "Icha ki tazria" (littéralement : « une femme, lorsqu'elle ensemencera »).
La similitude de la conduite de Nadav et d'Avihou, fils d'Aaron, qui ont « présenté un feu étranger devant Hachem » ( Wayiqra 10, 1) et qui ont été aussitôt foudroyés, suggère qu'ils ont pu être des jumeaux. On sait en effet que les jumeaux pénètrent les pensées l'un de l'autre et qu'ils se comportent souvent de façon similaire.
La paracha commence par les mots : « Ce fut le huitième jour… », huitième journée de l’inauguration du Tabernacle qui aurait dû être le couronnement faste et glorieux des cérémonies qui ont marqué cette consécration.
Pour ceux qui sont en dehors d'Israel on lira cette semaine la paracha Chemini. Après la mort de Nadav et Avihou, il est devenu interdit à Aaron et à ses descendants de « boire ni vin ni boisson enivrante à leur venue dans la tente d’assignation » (Wayiqra 10, 9), et cette défense a été répétée par Ezéchiel (49, 21)
Le plus sage d’entre les hommes déclare : « Retourne [la Torah] dans tous les sens, elle t’élèvera », (Proverbes, 4, 8). Selon Rachi, d’après le Talmud (Méguila, page 18/a), cela signifie que l’homme doit « creuser » et retourner la Torah dans toutes les sens pour y découvrir ses merveilles.
Cours Vidéo : Paracha Chemini par le Rav Rozenberg Zal
Le mot Tsaw, commente Rachi, implique toujours une idée de zèle. Cela signifie que Aharon a été exhorté à agir immédiatement. Dans un autre contexte, observe le ‘Hanoukath ha-Bayith, le Talmud (Qiddouchin 31a) nous enseigne : « Celui qui accomplit une mitswa pour en avoir reçu l’ordre est plus digne que celui qui l’effectue sans y être astreint. »
Quelles sont les règles à observer, en dehors de celles de Pourim, dans les localités qui étaient déjà entourées de murailles à l’époque de Josué ?